Lorsqu’on a mal, la première chose que l’on fait c’est isoler la douleur et lui donner toute l’importance au point que l’on s’identifie à elle…
Et si, au lieu de cela on l’embrassait… on l’intégrait en ré-inventant notre mouvement… un mouvement forcément plus systémique car ce n’est que comme cela que l’on peut embrasser, intégrer.
Share this post